despair // hillary

Sujet: despair // hillary Dim 17 Sep - 20:58

nom, prénom –kim ; comme kim kardashian qu'elle ajouterait dans le rire machiavélique qu'est le sien, un ensemble mal accordé et trop cristallin ; c'était la réplique d'autrefois. C'est l'amnésie, nouvelle identité bang son d'explosion de fin d'éternelle destruction ? - hillary, hillary hillary hillary on se sait les maux que cela engendre mais on ne veut plus l'entendre âge, naissance – 20 années de dur labeur à l'absurde ; 09/09 c'est l'anti-christ qui résonne aux tympans ; destin prédestiné ? date de mort et réveil, âge – morte d'une manière hilarante ; étouffée par une allergie aux fraises. Œdème de Quincke le jour de son anniversaire, éveil après le néant un an plus tard. 21 ans. Bon anniversaire, Hillary. nationalité, origine – le classique du classique, enfant de la patrie coréenne et prénom pour se donner un style hideux. statut civil – mâcheuse de chewing-gum. Question ignorée. orientation – amoureuse de l'anarchie. métier, études – profiteuse d'un cousin trop naïf ; études dans une école de politique. (... Où est la boutade ?)situation monétaire– instants passés à savourer la vie. lieu de résidence – allant agacer son frère jusqu'à vivre avec lui et son meilleur ami, à hongdae. le maquillage déborde dans la salle de bain.

FT. HEIZE

amoureuse des fraises depuis sa mort ; elle en achète dès qu'elle en voit. Impulsion inexpliquée, elle aime trop ça. ↯ c'est les orbes bleues tintées par les lentilles qu'on perçoit et le maquillage à trop grande dose ; trop d'artificiel dans l'air --- ↯ aimante de son propre corps, de sa propre beauté et de son originalité physique (qu'elle ne possède pas.) ↯ l'odeur du parfum de rose à l'outrance ; elle sent la rose, hillary. On ne sait si c'est naturel mais on sait seulement que l'odeur tourne au négatif quand on ne peut plus la sentir. ↯ elle éprouve un certain besoin de distance envers ce frère incertain ; le sien, et pourtant, il est un des seuls qu'elle ne parvient à serrer dans ses bras. ↯ dowon, en revanche, est l'ami profondément adoré ; t r o p adoré. ↯ elle ne sait pas ce qu'elle fait en politique ; curieusement, elle réussit ses études avec brio. ↯ elle déteste les choses trop rangées ou les gens trop carrés ; l'envie de les briser en triangle l'éveille alors dans un rire. ↯ elle adore les peluches, amour inexpliqué. ↯ elle adore les soirées qui tournent mal, les bêtes qui se frappent et le pop corn qui se prépare ; hideux personnage. ↯ elle adore les plaisirs charnels ; c'est vulgaire, c'est dur, c'est elle. Mais, curieusement, peu de gens l'attire. Elle passe par l'amusement simpliste où elle ne voit à peine le corps dans le noir. Malgré tout, elle fait cela très rarement. ↯ ceux n'étant pas gâtés dans la nature ne sont vus par sa personne ; soyez moches pour ne pas être une victime de sa présence, en somme. ↯ si tu entends le ricanement perfide et les talons qui claquent ↯ les hanches qui se roulent de trop et le miel dans le timbre ↯ ah, bah. ↯ c'est elle. ↯ ((bon courage.))

superficielle — extrême — instable — décadente — égocentrique — vulgaire — bruyante — inconsciente — immorale — affectueuse — a b s u r d e

Bam bam bam
C’est la peur qui enchante et se dévergonde dans ce grand théâtre
Ah ah ah
C’est encore le rire affreux r i r e qui résonne aux entrailles détruites
Tchin tchin tchin
Et l’alcool qui se lève qui s’affirme qui salue l’agonie
Clap clap clap
Elle s’applaudit, Hillary.

--------- j’mâche mon chewing-gum h24 parce que j’aime la menthe, et j’le fait bruyamment ------------

Superficialité
Ça hurle au masque naturel, physique affirmé et montré à l’outrance ;
On ne perçoit dans le reflet des orbes que la maquillage, les lentilles glaciales et le sourire colgate. Pour cause, elle sourit à s’en décoller la mâchoire, Hillary. La malheureuse moquerie éternelle quand elle rencontre, quand elle aime et quand elle s’occupe de l’autre. I r o n i e – elle aime tout le monde, Hillary. D’un amour mauvais, d’un amour destructeur qui plie en quatre. L’art d’entrainer l’autre dans sa folie : d’un naturel alarmant. La première vue fausse le jeu, c’est le vide de l’idiotie qui parait sur la peinture. Alors que l’autre fait une véritable rencontre de l’anarchie : une cassure de mythes d’humanité.

----- j’suis noire et blanc mais j’préfère le rose, c’est plus joli -------

L’extrême à son apogée ; le noir et le blanc se sont ancrés dans ses idées, ses gestes, ses réflexes. L’instabilité et les avis au plus haut point alors qu’elle rit toujours. Les paroles d’affections sans cesse répétés sont réelles, mais ont une merveilleuse connotation à la destruction. La beauté donne envie de peindre les corps en rouge ---
Ah, elle ne peint jamais seule, Hillary. Elle ne frappe pas, elle n’est jamais violente d’une manière physique. L’enfant ne se salira les mains pour rien au monde ; qu’un ongle se casse ? Ah, non. Elle prend des photos sur son portable à l’écran brisé, se roule par terre quand tu hurles et t’embrasse quand tu agonises.

----------- ta tête ressemble à une couverture d’un magazine putaiiin je t’aime soudainement à la folie ---------

Elle t’adore toujours si tu es une belle personne, Hillary. Elle ne voit que la couverture, l’extérieur, l’image qu’elle se donne de l’autre. Alors, le gentil l’ennuie. C’est toujours la même chose, toujours les mêmes nuances. L’antipode offre des frissons et l’obsession ; fanatisme. Vivre des craquements d’os de l’argent sale des dangers trop de dangers de la décadence pure --- elle a dut être moulée dans ce monde, Hillary. La fidélité aux maux est la seule fidélité dont elle peut faire preuve, par ailleurs : c’est l’égocentrisme à l’état pur. Elle ne s’intéresserait jamais à ta personne, ton histoire ou tes dires ; inutilité.
Intéresse-toi à elle, de préférence. « Où tu ne servirais à rien. » L’adoration quand on calque son regard sur elle, le besoin infâme d’être vue et observée sans cesse. La possession trop haute qui naît quand elle s'attache, le poison qui s'inscrit dans les veines de l'autre et la fuite que fait l'enfant alors que la pourriture commence à se voir par les cernes. -
Elle ne doit vivre que pour cela, hillary.

------------ alleeer, s’te plait. Je veux vraiment ça. Alleeeer. -------

C’est le cliché véritable de l’enfant qui tape du pied durant des heures en souhaitant une glace. On l’achète. On l’achète sans cesse. Si la fraise est au bout du filet, elle accepte. Elle ne vit jamais de son propre chef : elle a toujours été dépendante de tout, Hillary. Dans son manque d’éducation horripilant ((Quitte à lâcher des insultes à la secondes parce que c’est drôle, voyez)), seule une valeur semble subsister ; s’amuser. Mais il faut bien manger.
((Alors, elle te b o u f f e.))
L’hyper-activité dévore ton énergie ; mais pourquoi rester près d’elle ? Qu’à elle ? Le mental alarmant attirerait autant ?
Est-ce si rare, ce genre de folie ? Une chose braillarde et joyeuse qui te serre dans ses bras et t’embrasse, vide à la douleur alors qu’elle s’inscrit dans ta mémoire ? Impossible de définir la poupée sous tout ses angles, alors qu’elle s’avère être d’une simplicité alarmante. Telle est la réalité ; l’empathie qui manque sous les couches d’affections impures, le douloureux trait de naître sans humanité.
Aucune excuse, jamais blessée par la vie ; juste trop malade de la pensée, Hillary. Et elle l’ignore, tout le monde l’ignore que le tout est d’une incroyable gravité. Que ses dires écorchés ne sont qu’utopie, qu’elle ne sait sa propre décadence ; elle ne sait jamais rien, de toute manière. Méconnaissance de tout comme excuse derrière ses postures adorables ; l’envie alors de la blesser, de la faire pleurer et de la torture éternellement nait alors par ses multiples provocations.
Ah, elle rirait simplement, Hillary.
((pas les mêmes critères de douleur que toi, simplement))
((inverse les rôles et pressens l’impossibilité de la blesser normalement))

------- j'entend le sol crier quand je le martèle de mes talons, j'adooore -------

Etre hors réalité ; tel est le terme. La chose à interner de toute urgence avant qu’elle ne fasse d’incroyable dégâts. Parce qu’au delà de sa manipulation, quelqu’un de mal attentionné peut la mouler sans les schémas qu’il souhaite. Rien de la dérange, même d’obéir si cela convient à ses pauvres valeurs de jeu. Poupée véritable sans idéaux si ce n’est que le diable beau, Hillary.

((souvenirs qu’elle aime voler))
((c’est la poupée sous-estimée dans sa folie
Mais tellement visible
Dans cet
I n v i s i b l e
Tarée, va. ))

Tu n’aurais jamais dut renaître, Hillary.

SINON
bah, pas grand-chose
j'vous caresse les poils de bras avec du sucre bises
:drama:

MARI

SIAL — icon & ava skate vibe

Sujet: Re: despair // hillary Dim 17 Sep - 20:58

j'm'appelle anarchie
vie de l'opposé absurde ; déguisée à l'humanité
Le sourire qui s’étire
La tête qui dérive dans le son de folie
Clap clap clap
Les mains qui chantent aussi
Et le problème qui se définit
Ah.
Elle est malade, Hillary.

----

Qui t’es
Je sais pas qui t’es
Mais t’es belle
Facile d’oublier quand on est belle
Oublier ?
Je suis qui, déjà ?
Ah.
Elle a tout oublié, Hillary.
Les verres éclatés à l’âme bouteille à l’air éveil devant une hideuse porte ; elle riait. Le dur réveil d’une chose perdue, déposée défoncée dans une capitale. C’est le choc qui s’est perdu en route, les souvenirs qui se brouillent et l’esprit qui a arrêté de forcer. Parce que c’est drôle
Drôle
Drôle
Que la pluie nettoie son corps un peu boueux
J’m’en fous, j’suis belle. J’pue jamais la merde. La treizième année où elle savait seulement que ses chaussures étaient à talons. Que la flaque d’eau reflétait une jolie chose.
Ouaaah, trop beau. Et seul son prénom incrusté à la pensée qui résonnait encore. Il a rit. Hillary. Se tapotant la tête avec dureté et se plaignant simplement que sa boîte de chewing-gum soit imbibé d’eau.
Déjà décalée dans l’absurde ; la souffrance n’ayant l’air de l’avoir transformé en torture, mais né avec la torture au mental. Les orbes baignant dans l’enfer naturel alors qu’elle se redressait : aucune excuse à sa si jeune défaillance.
Juste un peu malade, surement ?
Alors, dans la nonchalance d’un nourrisson, elle toquait simplement à la porte de la méconnaissance. Vieille dame qui ouvrait, sursautait quand à l’état de l’enfant ; et le sourire qui s’étire, émerveillement d’un rien
De la mort au loin

- S’cuuuse. J’ai pas d’chewing-gum. Y’en a ici ?

Bonjour ?
((elle a été recueillie parce qu’elle était jolie et innocente, hillary))
-----
Et les souvenirs qui ne viennent pas, nom empruntée à la vieille du coin. La chose fantomatique, la chose qui se balade dans la rue, la chose qui voit le mal et qui aime. Elle s’ennuie, hillary. Aime la vie, Hillary. Et l’an qui passe, le vide qui trépasse et le maquillage qui se surpasse ; vulgarité grandissante. Et l’opposition en l’être, inconnue dans sa création qui s’anime. Bête immonde défigurant la poupée devenant démon. On l’entendait souvent, Hillary. Celle qui adorait les dealeurs du coin, qui photographiait la nana amochée au loin et riant d’un ami s’étant prit un joli poing.
Elle a toujours aimé tout le monde, Hillary. Elle survivait parce qu’elle était si heureuse, ici. Tout était beau, le monde était gentil et elle pouvait jouer avec eux.
… Jouer ?
((mystère à relever
Et, elle n’aimait que les gens beaux, hillary.))
Et puis, on l’aimait bien. Parce qu’on la connaissait, ignorant malgré tout si le cœur était en papier ou en bois.

- j’préfère le sang rose, c’est plus joli. C’est pas possible ? Mais siiiii, suffit d’le voir en rose, il sera rose. Je veuuux du rose.

La vie en rose, Hillary.
Le monstre monstrueux qui trainait au jour à la nuit au levée des insomnies ; le petit être qui volait ton âme en attendant que la vieille qui la nourrissait lui file un nom officiel. Alors, le Kim résonnait sur la papier et elle allait au collège, fière. Une année où le fantôme manquait à l’appel de la réalité.
Seul détail étant que ces proches l’ayant accompagné durant ce temps
Elle ne les a pas oublié, hillary.
((ils m’aiment je les aime donc on se collera à vie))
-------
L y c é e
Elle ne savait comment elle avait réussit à passer les classes mais les passait avec amusement. Le chewing-gum étant mâché quotidiennement et l’envie d’avoir de nouvelles amies l’éveillant. Jolie, Hillary, alors qu’elle se tournait vers sa voisine de table. Destinée qu’elle ajoutait en riant, miel à la voix alors que ses talons allaient encore marteler le sol plus tard ---
A plus, Haneul.
Haneul, elle l’aimait bien. Mais elle était trop douce. Trop soie. Trop gentille. Donc parfois, elle l’aimait pas.
Haneul, elle la trouvait jolie. Mais elle était trop classique. Trop musique. Trop mystique. Donc, parfois, elle la trouvait plus laide.
Haneul donnait l’envie de changer la couleur de peau.

- oooh, t’es inspirante. J’ai envie d’être artiste pour toi, Haneul, j’t’aime trooop.

Etreinte de l’époque, nouveau jouet qu’elle avait présenté à ses horribles amies. Elle ne mentait pas, Hillary. Les bras qui se serrent à étouffer et le bisous collé à la peau encore innocente des dires.
Elle aurait du lire dans le regard que l’empathie manquait à son être.
((erreur impardonnable, haneul.))
L’opposition en l’être qui déferlait par les dires. Elle était partout. Véritable luciférienne sangsue, amourachée d’un autre garçon qu’elle avait serré contre elle malgré son accord durant deux ans. Sun ; son grand et beauuu sun à qui elle avait associé une image d’homme inaccessible et froid. Tout quand la faisait fantasmer, idiote et absurde adolescente qu’elle était. Et, dans l’illogisme du peu de maturité qu’elle possédait, elle s’était lancée dans le plaisir charnel avec son meilleur ami.
Parce que c’était drôle.
Tout est drôle ; et elle riait encore sans grâce, hillary. Le corps abandonné à la pulsion de plusieurs soirs, poupée s’amusant dans cet art vulgarisé avec son ami. L’apprentissage de cet acte qu’elle lui avait demandé avec une pression des plus insistantes. Alcool à la clé et la moue légère à l’idée que son favori allait refuser. L’autre suffisait, c’était la vie.
Et ; un beau jour, pluie s’écoulant sur les vêtements transparents, elle apprit que ses deux amis étaient décédés.
Simplement.
Décédés.

- Maiiiiiis. C’pas juste. Pieds qui se tapèrent au sol, théâtre de la gamine indignée ils auraient pu attendre, j’voulais manger au restau ce soir.

((deux humains en moins))
((d’autres ressemblent, nul problème à l’assistance !))
L’état mental qui se dégrade affreusement, Hillary.
Elle retrouverait Haneul, tant pis.

-----
Ennui
Ennui
Ennui mortel
Peluche déchirée au coin du lit qui la fixe dans l’atrocité des orbes en folie
J’m’ennuie
J’veux jouer
Allo, tu veux peindre un visage ?
Pourquoi ?
On trouvera l’excuse en chemin
J’veux jouer
Maintenant
Et j’aime pas attendre.
Message envoyé, chère amie.
-----

– ahaha, regardez là comment elle est pathétique.
– non mais t’as vu sa tête ?
– ouais pas encore assez amochée.
– une traînée, elle le mérite bien
– tu m’étonnes, c’est ça d’ouvrir les cuisses trop tôt ; et en plus, quelle idée de mentir hein ? pourquoi t’as mentis haneul ? de toute façon, jun, il aurait jamais voulu de toi.

C’est qui, déjà, Jun ?
Elle a oublié l’excuse et ne fait qu’arranger sa manucure. Sautillant auprès des grincements des craquements d’os malheureux ; ça fait une mélodie. C’est joli, crac crac crac ça pue l’harmonie ahahahahah et c’est le rire éternel qui déchante alors qu’elle prenait des photographies.
Elle adore les humains, Hillary. Ils sont drôles, ils se ressemblent tous. Ils sont un peu inutiles. Elle est si gentille, Hillary. Elle les aide à être utiles pour son esprit.

– ouaaaah, trop joliiie. C’est l’horripilant l’émerveillement véritable d’un enfant alors qu’elle s’approchait, caressait sa peau défigurée de son souffle à la menthe

Toujours trop artificielle, hillary.

– j't'ai toujours trouvé jolie, pour ça, le bleu sur le visage ça vaaaa. Et l’éclat de rire répété en fanfare par ses amies dont elle ignore le nom. Elle l’avait peinte, et c’était réussit

Joli -

– et l'rouge, c'est la mode. Mode de l’atrocité, haneul. tu me remercies pas ? ooooh, t'es méchante. mais j't'aime bien quand même.

Et Hillary qui terminait l’œuvre, le fabrication d’un fond d’écran. Ah, elle n’effleurait pas. Hillary, c’est la plaie de souvenirs qu’elle n’a jamais eut. C’est les autres qui font le sang pour elle, elle n’aime pas tacher sa jolie peau acidulée ; alors elle embrassait alors la joue de l’appréciée.
Souvenir de ces dernières années passées
Et elle baillait
Elle devait faire dodo, Hillary. C’est fatiguant, de tenir un portable, de nos jours.

-----
Suicide
Haneul suicide
Ça passe tranquille, ajoutait-elle
L’eau qui claque contre le corps, j’suis sure que ça fait pas trop mal.
Bisouuus, haneul.
------

K a r m a ;
La soirée d’anniversaire merveilleuse ; 19 ans. 19 années dans l’insouciance de l’éternelle folie dont tout le monde se doute. De cette grand-mère lui ayant délégué ses biens alors qu’elle se rappelait seulement à mettre ses vêtements au sale le soir. La laissant tout faire, sans reconnaissance de sa sauveteuse. Elle s’en importait un peu.
C’était la vie.
Et, elle divaguait seule dans les ruelles. La bouteille tenue à sa main, la démarche chancelante. La cruelle avait soudainement faim, alors elle brisait avec de multiples choses trouvées à l’extérieur la vitre d’une pauvre épicerie.

- Oooooh, j’connais pas, ça. Trop beau.

Rouge
Un fruit rouge
À la mode, le rouge ?
L’aliment qu’elle avait alors avalé. Et les secondes qui se perdent, le respiration qui s’avère
Compliquée
De plus en plus
Compliquée
L’incompréhension alors qu’elle s’écroulait au sol. Elle étouffait, la gorge gonflait et la vie se perdait.
Allergique aux fraises, simplement, Hillary.
~~((le fruit de la tentation qui l'a punit))~~

———

———

j'm'appelle illusion
c'est le théâtre illogique

- Alleeeeer, ça va être drôle. T’inquiète, c’est à la mode, c’est rien. J’m’occupe des trucs chiants. Alleeeeer.

Bras entourant cet ami que tu entraines doucement dans l’abime.
Hillary.
Tu as 21 ans.
Tu possèdes des parents, un frère ainé que tu apprécies moins que ce meilleur ami poupée d’or
((couleur herbe et billets verts))
Hillary
Tu es étudiante en politique
Tu es
Tu es
…. Pardon ?

Sujet: Re: despair // hillary Dim 17 Sep - 20:59

FIRST

Sujet: Re: despair // hillary Dim 17 Sep - 20:59

MAIS NON
PTN SIAL C'ETAIT MA PLACE
MERDE A LA FIN

J'EDIT

Sujet: Re: despair // hillary Dim 17 Sep - 21:00

ew

Sujet: Re: despair // hillary Dim 17 Sep - 21:30

alors toi.
ALORS TOI. :meryl:

Sujet: Re: despair // hillary Mar 19 Sep - 0:12

j'vous aime tous fort
et rage pas trop ems
t'as la first place dans mon coeur ok
humour
bises :meh:

Sujet: Re: despair // hillary Mar 19 Sep - 16:21

Validation

.(dés)enchanté(e).

toujours un plaisir de te lire ma biche. fluide, puissant, t'as pas lésiné sur le grotesque qu'est hillary - et j'adore, même si sunwoo va vachement moins aimer qu'elle tape un squatte à la maison. :larmes:

de la bombe. et j'ai hurlé de rire sur la fin, punaise, c'est beau, c'est gold.

et parlons-en de hillary, l'as de carreau a trouvé en elle un personnage à la fois infecte et intéressant. si son instabilité lui fait parfois peur, il reste quand même conscient du nombre de choses qu'elle pourrait faire pour sa cause - elle qui n'a peur de rien. si les autres dieux ont jugé son choix d'un air dédaigneux, il te voit malgré tout comme le cavalier de son jeu d'échec. en revanche il doute un peu de tes études... sombre blague ? sans doute. qu'il voit jusqu'à où tu peux aller pour avancer. :oula:

((sunwoo))

Bienvenue Bang Hillary sur le réseau d’Entropy.

Vous appartenez au groupe Carreau. Vous devez allégeance à l'As.
Vos points de départ sont de 189.

Il est formellement interdit de révéler votre groupe sous peine de suppression du réseau.

La voix de votre dirigeant est souveraine.

Réalisez des missions pour votre groupe et votre solde de points augmentera. Des points peuvent vous êtes retirés à tout moment. En cas de solde négatif, vous êtes exclut du réseau.

Encore bravo à toi ! Pour tout faire bien comme il faut, il te faudra passer par ces différentes étapes. Nous te remercions d'avance pour ta participation et nous espérons de tout coeur que tu t'amuseras comme il faut parmi nous. ♡

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