logo de ses créations ; la rose, l'originalité par la couleur glaciale d'un dessin représentant la passion. ↯ café sans le café crème et c'est le rejet immédiat, humeur balancée et mots trop durs pour un pauvre petit serveur. Triste. ↯ icone dans son domaine, montée en flèche par son travail acharné. Travail travail travail, devise vitale pour son être. ↯ elle s'empare des modes et les détruit. Les magnifie. Tel est son talent dans ce milieu d'or et d'argent. ↯ chanel, marque phare dans ses addictions, avec sa créatrice qu'il adore tout autant. ↯ son chaton s'appelle chanel, oui. ↯ le seul thé qu'elle apprécie est le thé qu'elle a bu à la mosquée de Paris. Sucré à souhaits et le palais qui a savouré la vie. Le reste n'égale rien. ↯ chasseuse dans l'âme, elle capte les multiples auras, les émotions qu'elle ne possède pas pour en faire des créations. Miroir des émotions. ↯ elle dit qu'elle donne sa récente fortune à des associations. C'est faux. C'est juste une mode. ↯ amis comme ennemis, la vipère critique tout. ↯ l'analyse en valeur clé ; tout les détails sont eux-mêmes analysés. Machine de guerre dans son business. ↯ pouvoir ; elle aime accumuler les arts. ↯ et, en effet,
elle a arrêté de sculpter dans le sucre car elle trouvait que ses admirateurs devenaient trop gros. ↯ elle est obsédée par ce qu'elle mange ; une alimentation saine, trop saine où seule la boisson est une exception. ↯ café, alcool. Petite dose seulement. ↯ elle ne sait où elle trouvait l'argent pour sa garde-robe avant de réussir dans le milieu. Mais elle trouvait. ↯ elle se brûle souvent la langue avec son café, c'est le talent. ↯ un regard de sa part équivaut à une critique, bien souvent négative en premier lieu. ↯ et tant pis si tu aimes pas les rageux. ↯ c'est une rageuse, mais une rageuse winneuse babe. ↯ enfin, tels sont ses dires. ↯ bises.

café crème — noir de jais — raisins secs — crayon en papier — feuille blanche
— p a s s a b l e
Traduction de l'espérance à la vie, aux mœurs et aux cœurs qui s'entrechoquent. La mélodie à l’œil et l'âme aux couleurs qui s'affrontent dans son champ de vision. Le regard vipérin qui foudroie la foule avec véhémence. Mocheté qu'elle affronte pour le plaisir de la critique, la crasse de ses articles qui détruisent les passants dans les faibles mémoires de son domaine.
La mode, c'est dépassé.
La fureur aux coups de crayons à l'illumination qui se témoigne par un long soupir, aux paroles despotiques ou faussement anarchiques. Les mouvements trop durs envers les dessins et la mine qui se brise. La café chic qui vient saluer l’appréciée pour l'image directrice, la ligne de la réputation de la dame. La dame qui adore la classe humaine comme son propre enfant, adsorbe l’aura des passants pour les retranscrire sous cette nouvelle forme d’art qu’elle adule. Son sens de la vie ?
Tout droit.
Rouge harmonie ou rouge à la paupière : elle se maquille pour cacher la fatigue et par amour du caché. L'amour obligé par la valeur d'un esprit mieux brisé. Ironie, elle n'est pas la créatrice. Elle, c'est simplement la répétition ou la technique.
Je ne créé que vos reflets, je ne suis pas une artiste.
Le tailleur impossible à porter et le ricanement étouffé. Elle ne fait pas de stylisme, non. L’habit fait le moine, le moine choisit l’habit et se définit avec. Tout dans sa curieuse objectivité, le raisin craque sous sa gencive ; ah. Même la riche capitale ne fait fuir le mauvais goût. Et les dires qu’elle clame dans les débats, les arguments secs et précis : c’est ainsi qu’elle dissèque les cadavres considérés. Comme si la réponse absolue, elle la possédait. « toujours raison à la raison même, c’est un fait. ». Sa parole pensée appauvrirait le penseur jusqu’à le pourrir. Sans justification, sans logique hormis celle propre à la sienne, les remarques acerbes qui se multiplient donc quand on demande à cette infâme bouche de s'élever. C'est la célébrité qui se détaillait dans une couverture rougie de la sulfureuse, de la tortueuse, du venin d'une dame qui clame sans gêne. Sans hurlements ; élégance à la larme gauche, s'il vous plait.
Je ne blesse pas, je ne fais que relater la vérité.
Les règles de son business, commandements de ses inventions qui ne sont qu'une véritable constitution d’événements. Dans le monde d'hypocrisie, porter le drapeau de celle qui brise, de la reine qui se donne une identité de peuple. Peuple ?
Moche, juste moche.
Pouffer à s'en étouffer dans sa coupelle de raisins secs. Casser, disséquer les goûts ou le manque d'argent. L'excuse qu'elle ne fait que blâmer dans la laideur de sa classe.
Ebay, tu connais ? Si t'as que ça.
Les talons qui se claquent vers les interrogés du phénomène actuel ; elle se sent un brin trop petite. L'ancienne sculptrice dans sa splendeur de sculpter les corps androgynes. Ah, en effet.
Pourquoi ais-je arrêté de sculpter dans le sucre ? Parce que cela rendait les gens gros.
Pouvoir dans les croquis et dans les ambitions ; pointe de l’Everest, puis escalier au ciel, se promener aux nuages et attendre le prochain train aux étoiles. Il fallait bien marcher sur les nuages pour entrevoir l'arrivée.
Je marche uniquement sur les pouilleux.
C'est la cruelle mesquinerie trottinant sur les cristaux encore non polis. L'arrivisme, ultime carriériste aux pieds noircis. Voir le monde sous la terre ne mérite que d'être aveugle. Il y a beaucoup d'aveugles ; voilà pourquoi ils s'habillent mal.
Plus de raisins secs.
Politesse aux seuls méritants et le dédain qui s'immisce. Le jugement physique perpétuel affirmé, pour le bien d'une humanité plus originale. Pauvre crayon tapoté contre la table qui entend toutes les pires immondices.
T'as oublié ton style en chemin ? Perdu aux poubelles ?
Tu sais ce que c'est, le style, d'ailleurs ?
Le geste de la main insultant et les orbes tournés vers le tailleur seulement porté aux grands défilés.
Aller, retourne sur Ebay.